Jeune étudiante enculée par un gros porc vicieux
Ma vie à la fac
Je suis Isabelle et ma première sodomie remonte à l’époque où j’étais étudiante à la fac. J’étais jeune et plutôt belle, comme les fille de mon âge, et je pensais beaucoup au sexe.
C’était plutôt normal à 19 ans, sauf que je le pratiquais seule, la main dans la culotte, souvent tard le soir. Je ne voulais pas faire l’amour avant de trouver l’homme de ma vie, à l’époque c’était comme ça.
C’est donc une vieille histoire mais je n’oublierai jamais cette initiation à la sodomie. Il faut dire que mon premier homme n’était pas comme les autres. Mais je n’aurai jamais cru m’offrir à lui, vous allez comprendre pourquoi.
Je le connaissais depuis peu de temps, mais Christian, mon futur initiateur, avait su se démarquer des autres garçons. Il n’était pas comme ces étudiants débiles qui me trainaient autour sans arrêt.
Ces imbéciles ne voulaient qu’une chose, s’amuser avec mon corps, me tripoter les seins ou dans la culotte. Une bite à la place du cerveau, alors qu’ils devaient devenir l’élite. Pauvre France. Christian était lui plus mature, il était évident qu’il deviendrait quelqu’un.
Les études et rien d’autres
Je l’aimais bien car il me respectait, et ne faisait jamais de commentaire sur mon physique. Il ignorait superbement mes fesses, ma poitrine, bref tout ce qui faisait de moi une femme. Seul les études comptaient. Tous les deux, nous voulions faire quelques chose de notre vie, c’est ce qui nous rapprochait.
Mon ami Christian et moi étions en révision chaque samedi dans un minuscule studio. J’y résidais pendant mes études et il restait pour « dormir » dans de mauvaises conditions. Christian couchait sur le plancher les premiers temps pour ne pas me déranger, il se faisait le plus discret possible.
Nous nous rapprochions peu à peu, et après quelques semaines je commençais à m’attacher à lui. Presque toutes les nuits il se retournait pour trouver la bonne position pour dormir. Le plancher n’était pas très confortable, et je m’en voulais un peu de le voir peiner à dormir.
Le studio était bien trop petit pour installer un autre lit ou un divan, nous n’aurions plus eu aucun espace. Notre seul confort était des tabourets « tam tam » très en vogue à l’époque, mais vraiment inconfortable.
Premiers rapprochement entre étudiants
Je lui ai donc naturellement fais comprendre que j’avais confiance en lui et que nous pouvions partager mon lit en » amis « . Cela maintenant que nous nous connaissions mieux, il ne s’est pas fait prié vu la dureté du parquet.
En fait, il semblait même attendre cela depuis un moment et semblait un peu différent. Il était plus joyeux que d’habitude, comme s’il avait gagné au tiercé. Son comportement avait d’ailleurs un peu changé, et ne manquait pas une occasion de me reluquer à présent.
Mais je ne lui en parlais pas, après tout c’était un jeune étudiant de 23 ans, pas un moine. Je l’avais même senti plusieurs fois me caresser le dos pendant les premières nuits.
Un beau garçon, pas comme tout le monde
Ce n’était pas grand chose, et peut être même involontaire. Alors je n’ai jamais rien dit ou laisser paraitre. Christian n’était pas vilain, il était même assez beau garçon, mais à 22 ans il pesait déjà près de 135 kg…
Je ne voyais pas de sexe possible entre nous . La situation m’excitait tout de même parfois un peu, surement les hormones. Le physique de mon ami était trop particulier. Je n’étais pas très attiré par les physiques atypiques, même si son visage était d’une grande beauté.
Alors quand je l’entendais ronfler, j’en profiter pour me toucher un peu dans les toilettes, jusqu’à la jouissance. Ensuite, je retournais sous la couette la tête claire, aucun risque que mes hormones me fasses faire une bêtise.
Les révisions s’intensifient, les câlins aussi
Les semaines sont passées vite, les premiers examens approchaient, et nos notes n’étaient pas à la hauteur de nos espérances. Nos révisions se sont donc intensifiées, on se voyais tous les jours ou presque.
On terminait tard et souvent il restait presque toujours pour passer la nuit. Ses câlins devenaient plus fréquents, mais je comprenais, j’étais surement la seule fille avec qui il aurait pu se retrouver au lit.
Aucune autre étudiante ne semblait voir qu’il existait, toutes se disputaient les plus beaux mecs de la fac. Je lui pardonnai donc les petits câlins pendant mon » sommeil » et j’avais même un peu de peine pour lui.
Une nuit Christian s’est levé et je pensai qu’il allait aux toilettes avant de grignoter un peu, il fréquentait assidument le « coin cuisine » du studio. En effet, Christian grignotait très souvent, et encore plus à cette période surement à cause du stress des révisions.
Quand un gros cochon se jette à l’eau
Il a vite reprit sa place sous les drap et s’est collé contre moi. Mon stress à moi je le réglais au wc. Et le voila réveillé juste au moment où j’allais me masturber dans les toilettes. Des idées me passaient par la tête, mais non, pas avec lui.
Curieusement, comme s’il lisait dans mon esprit, mon camarade était parti justement parti chercher un cube de glace au frigo. Il commença a me le frotter le long de la colonne vertébrale. Je faisais semblant de dormir, tout en me demandant ce qui lui passait par la tête.
Quand les hormones de mettent à travailler…
Comme je ne bougeais pas le glaçon s’est vite retrouvé remplacé par sa langue… J’étais un peu excitée et un peu dégoutée par son comportement bizarre. La situation était très gênante.
Soudainement il m’a dit à voix haute » Isabelle, je sais que tu ne dors pas, tu n’arrête pas de bouger » , il ajouta » et je sais pourquoi ». Christian avait comprit, et il savait que j’allais me masturbais bientôt.
Cet effronté ajouta » Laisse toi faire, tu en a envie et j’en ai envie « . Comment oublier ces phrases qui ne collaient pas du tout à un jeune homme de sa corpulence. Il faisait preuve d’une grande confiance en lui.
Excitée par un gros
Moi, j’étais tellement surprise par son audace, je sentais que je rougissais comme une pivoine. Au même moment ma culotte fut envahis d’un flot de mouille, j’étais excité par ce gros porc, malgré moi.
J’ai juste trouvé la force de murmurer cette phrase un peu » idiote : « Non je ne dors pas et j’en ai envie depuis un bon moment, tu as raison », ce qui n’était pas tout à fait vrai, ni tout à fait faux…
Il avait sa réponse, 2 secondes plus tard une de ses main était dans ma petite culotte et l’autre pressait mes seins sans les ménager. Christian était finalement un garçon comme les autres, et même pire que les autres, c’était un vicelard dominant.
Je pensais qu’il se contenterai de me caresser, mais ce gros cochon écarta mes fesses sans hésiter. Pétrifiée, je ne bougeait pas en sentant sa langue s’enfoncer dans ma chatte. Je ne savais plus quoi faire, il était incroyablement fort pour un mec obèse.
Un étudiant très pervers me doigte le cul
J’hésitais sur le comportement à adopter, ce n’était pas un viol, certes… Mais c’était quand même un peu hard pour une jeune étudiante. Le temps que je prenne une décision, ses doigts fouillait déjà mon anus en profondeur.
J’étais excité et effrayée, la sensation était plus que bizarre. Il me dit » tu m’a trop fait attendre sale pute, maintenant je vais te punir ». Je n’en croyais pas mes oreilles, j’avais peur et à la fois j’avais envie d’être sa chose.
Sans aucune raison particulière, il me gifla, et 30 secondes plus tard, j’étais à quatre pattes sur mon lit, le cul en buse. Plus question de faire marche arrière, je pouvais sentit le plaisir commencer à m’envahir d’ailleurs.
J’avais 3 ou 4 doigts dans le petit trou , une langue au fond du vagin et je mouillais comme une pute. Je pris la décision de laisser ce gros cochon me bouffer la foufoune et le cul, il s’y prenait bien le salaud
C’était la première fois qu’un hommes explorait mon intimité encore vierge de sa langue, la sensation était délicieuse. Il était bien trop tard pour jouer l’amie outragée, de plus j’avais maintenant vraiment très envie de me faire baiser et rebaiser…
Ma première fellation
Ce pervers allait me posséder, et je ne voulais rien d’autres, juste sentir son sexe fouiller mon vagin. Christian ne comptait pas juste me baiser, malgré l’excitation il comptait visiblement » en profiter ». Ce pervers me prit par les cheveux et je me retrouvais très vite avec son sexe dans la bouche.
Sa queue n’était pas impressionnante à voir, elle devait fait 15 ou 16 centimètres. Mais je peux vous assurer que la prendre au fond de la gorge était un exploit pour une pucelle comme moi. J’avais 19 ans mais c’était ma première fellation.
Pour montrer que j’étais obéissante, et surement pour l’impressionner, j’ai voulu bien faire. Je le suçais donc le mieux que je le pouvais en m’appliquant. J’essayais de prendre son sexe le plus loin possible dans ma bouche. Sans pudeur, je lui bouffais les couilles avec gourmandise.
Je pouvais la sentir buter contre mes amygdales et forcer le passage. Parfois, je pensais même que j’allais vomir. Il me traitait de pute, de salope, de chienne, et tout ce qui lui passait par la tête.
J’étais en furie et je prenais ses couilles dans ma bouche pour les aspirer au plus loin que je le pouvais. Ce salaud n’avait pas une bite énormes mais ses couilles faisait chacune la taille d’une petite mandarine.
Découverte de ma soumission
Après cela, ce gros vicieux m’a demandé de me mettre en position de levrette et je me suis exécutée directement. Je compris à ce moment précis qu’elle était ma sexualité, j’étais soumise, une jeune soumise de 19 ans.
Voilà pourquoi je ne m’intéressait pas aux garçon, voila pourquoi dans mes fantasme j’obéissais à des hommes qui me maltraitaient. Quand je me masturbais le soir je me voyais, attachée, doigté, baisée, depuis toujours.
Et ce gros porc vicieux était exactement ce le genre d’homme qui m’excitait. Pas pour son physique, mais pour la manière qu’il avait de me traiter. Il était peut-être un peu trop jeune toutefois dans mes fantasmes les hommes étaient laids et vieux.
Ma première sodomie
Curieusement Christian semblait plus intéressé par bouffer mon petit trou que par me faire l’amour, je sentais mon anus complétement béant et dégoulinant de salive.
J’ai compris ses intention quand il était déjà à demi enfoncé dans mon anus. En fait 4 de ses doigts fouillait ma chatte et sa pine continuait à s’enfoncer dans mon cul.
Il plaisanta : » tu ne tombera pas enceinte comme ça « , puis ajouta » ma bite dans la chatte, il faut la mériter ». Les aller-retour de sa queue dans mon petit cul vierge et ses doigts fouillant ma foufoune finirent très vite par me faire lâcher des cris de plaisir.
Sodomisée comme une salope par un gros porc
Je jouissais comme une vraie salope enculée par un gros porc, j’avais perdu toute dignité. Je criais « encule moi », « je suis ta pute », « baise mon cul plus fort » .Il était certain que je ne serais plus jamais la même, je pensais déjà à trouver d’autres queues.
Il a finalement éjaculé tout son sperme à l’intérieur de mon rectum et il est resté dans mon cul jusqu’à ce qu’il débande complétement. Ce jour là j’étais tellement excitée que je l’aurais laissé faire n’importe quoi !
Pendant mes trois ans d’études j’ai été chaque soir enculée par ce gros cochon, Christian est devenu mon « maitre dominateur ». On a fait tellement de choses pervers ensemble, et j’ai adoré ça.
20 ans ont passés et j’aime toujours me faire dominer et enculer
Depuis je suis soumise, cela fait 20 ans que je pratique. Je n’ai pas mari ni de maitre attitré. Les seules relations qui me conviennent sont les relations éphémères.
Alors j’aime bien trainer sur les tchats ou des sites comme celui là. Je pose une petite annonce de sodomie ou soumission et j’essaye de trouver les mecs les plus cochons possible.
Hommage à mon maitre
Mais je n’ai pas oublié l’homme qui m’a révélé à moi même. Christian n’était surement pas le plus beau mec avec qui j’ai baisé dans ma vie.Je suis pourtant très heureuse de l’avoir connu.
C’était un homme excitant et certainement le plus vicieux que j’ai pu rencontrer. Je ne parlerai pas de toutes les cochonneries qu’on a fait ensembles, j’adorais…
Je te remercie Christian si tu me lis, on a perdu contact malheureusement. J’ai vu sur Facebook il y a quelques années que tu étais marié, que tu avait des enfants, une vie rangée et une bonne situation.
Je n’ai donc pas osé reprendre contact. Tu sera toujours le meilleur enculeur que j’ai connu et je ne regrette rien… Je pense toujours à toi mon gros cochon :).
Si tu me lis et que tu veux me revoir inscris toi dans la section rencontre de ce site et envoi moi un message, bise.
Note de cette histoire de cul : ce témoignage est noté 17/20