Beaucoup d’hommes se sont déjà posé la question de savoir s’ils aimeraient être sodomisés. Certains ont décidé de tenter l’expérience et se faire enculer, par curiosité ou pour assouvir un fantasme. Que ce soit par le biais de petites annonces ou de rencontres fortuites, ces hommes ont décidé de sauter le pas et de découvrir de nouvelles sensations. Cependant, les expériences peuvent être très différentes, allant de l’extrême plaisir à la déception totale. Dans cette confession intime, un homme partage son expérience personnelle et ses réflexions sur ce sujet encore tabou pour beaucoup. Il décrit les sensations physiques et émotionnelles qu’il a ressenties, ainsi que les raisons qui l’ont poussé à essayer de me faire enculer.
Confession intime d’un homme qui s’est fait enculer
Avant tout merci au contributeur qui se reconnaitre, voilà sa confession…
Comme certains hommes, je me suis demandé si j’aimerais être sodomisé… J’ai donc décidé de tenter l’expérience. J’ai trouvé un amateur via des petites annonces sur un site. Arrivé au rendez-vous, chez l’homme qui cherchait des anus à utiliser, je tombe sur un gars de mon âge (j’avais environ 35 ans) et plutôt bien foutu. Je me dis que c’est bien pour cette première expérience.
Premier rendez-vous gay
Il me dit de me déshabiller. Je le fais pendant qu’il me regarde. Il apprécie de me voir quitter mes vêtements un par un. Une fois tout nu, il me fait tourner sur moi-même et me demande : « Alors, t’es vraiment vierge du cul ? ». Effectivement. « Et bien, je vais y remédier. » Il me fait mettre à genoux pour le sucer et le faire bander. J’obéis, et commence à sucer sa pine qu’il a sortie par la braguette. Elle réagit bien, et il trouve que je suis une vraie salope de suceuse. Il bande bien. Je m’applique. Au bout d’un moment, il se retire et il se déshabille. On se dirige vers le canapé. Il me fait mettre en levrette, et enfile une capote.
Un rapport anal décevant
Il s’approche et pose son gland sur mon trou. Il commence à pousser, ça a du mal à rentrer, mais finalement, ça rentre bien quand même. Puis, il me demande si j’aime ça ? Bof, ça ne me fait rien, sinon un peu mal d’être forcé en dilatation. Je laisse faire pour aller au bout de la tentative. Il commence à me limer, et accélère le mouvement. Il en vient à me bourrer comme un lapin. Là, je n’ai aucun plaisir et j’ai hâte qu’il finisse. Après avoir joui, il se retire, on se rhabille. Il me demande si j’ai apprécié, parce qu’il a aimé mon trou bien serré. Je ne mens pas en disant que ça ne m’a rien fait. Il conclut en disant « faudra revenir ». Ce que je n’ai jamais fait, car je suis déçu de ne pas pouvoir prendre du plaisir avec une pénétration anale.
Je préférais sucer que me faire enculer
Après quelques temps je n’y pensais plus. Je me contentais, les années suivantes, de sucer toutes les queues que je pouvais trouver. J’allais souvent dans un petit bois où j’étais sûr de trouver des couilles à vider. En été, je me faisais bronzer tout nu dans une clairière. Et j’avais toujours des promeneurs à soulager. Un jour d’été, justement, un mec s’approche. Il s’arrête près de moi. Je me redresse. Il commence la conversation. On bavarde un peu, puis il me dit que c’est agréable de voir des hommes faire du bronzage intégral. Très vite je comprend que s’il parle de ça, c’est qu’il a envie d’un mec.
Je le fais gicler en le suçant
Je passe de la position assise, à genoux devant lui. Ce qui est une invitation… On parle encore un peu, et il ouvre sa braguette et me dit : « tiens, tu vas la sucer un peu ». J’adore qu’on me parle comme ça et j’obéis. Elle est belle, longue, douce, et déjà un peu gonflée. Ça m’excite de la voir et je l’enfourne goulument. Je le suce comme une reine, et il gémit de plaisir. Je me réjouis de bientôt avoir une giclée en bouche. Là, il s’arrête, et sans un mot, il me fait mettre debout. Je bande aussi comme un malade. Il apprécie et me fait tourner. Une fois de dos, il me dit d’écarter les jambes. Je le fais. Écarte plus. Je le fais. Puis, il pousse sur mes épaules. Penche-toi en avant. Je le fais, mais il veut que je me penche encore plus.
Il décide de me prendre l’anus
Finalement, je suis presque plié en deux. Il s’approche, et me dit : « je vais te prendre ». Je suis tellement excité, que je trouve ça normal et je suis même content qu’il s’occupe de moi. Il dit qu’il est désolé de ne pas avoir de préservatif. Je suis si excité que je ne proteste pas. Il me dit d’ouvrir mes fesses avec mes mains. Là encore, j’obéis. Il pose son gland, et me dit : « pute, tu mouilles comme une femme ! » Il pousse, et c’est vrai que ça rentre comme dans du beurre.
Je fini par aimer me faire enculer comme une salope
Il me lime avec douceur et tendresse, et j’adore me faire enculer finalement. Voilà, c’est exactement ce que j’attendais d’une sodomie, être pris comme une femme et limé comme une salope. J’éprouve un plaisir inconnu à être pénétré comme il le fait. Il joue à ressortir, re-rentrer, à limer de toutes les façons possibles. Il sort d’un coup, marque un arrêt, et rentre d’un seul coup. Plusieurs fois. C’est grandiose pour moi. Finalement, il se retire et nous nous masturbons côte à côte pour finir.
Conclusion
Ce jour-là, j’ai réalisé que le partenaire est important. S’il est attentif et respectueux, c’est magique. Je ne l’ai jamais revu. Mais depuis, j’ai trouvé des amis, réguliers, qui viennent me voir pour m’enculer ou se faire pomper quand ils ont envie. Ce sera un autre récit.