Souvenirs d’adolescence, une cousine facile à enculer mais dure à oublier
Entre 13 ans et 25 ans je passais mes vacances à la campagne chez mon oncle et ma tante, en compagnie de mes petites cousines. Évidemment ce moment était pour moi très attendu, c’était l’occasion d’en profiter pour m’amuser. J’adorais jouer avec les filles de tonton et tata. J’étais toujours heureux avec elles et je construisais mes plus beau souvenirs d’adolescences.
Les années ont passées et à ma majorité j’ai commencé à me faire un peu d’argent en aidant mon oncle. Il est clair qu’en tant d’étudiant cet argent était vital pour moi. C’était aussi l’occasion de revoir mes deux cousines Martine et Valérie. Les petites étaient aussi âgée que moi, dans les 18, 20 ans.
La complicité naissante entre moi et ma petite cousine
Mais elle avaient toujours l’apparence de gamines, beaux petit culs et petites poitrines comme preuves à l’appui. Délaissant nos jeux d’enfant, elles m’aidaient désormais dans mon travail à la ferme. La dernière année j’ai pu devenir très proche avec Valérie, la plus jeune d’entre elles.
Ma petite cousine était de loin ma préférée. Martine était un peu distante et beaucoup moins coquine. La petite était au contraire un peu délurée pour une jeune fille de son âge. Depuis ses 16 ans elle n’arrêtait pas de m’allumer dans la grange. Les premiers temps en exhibant juste ses seins minuscules.
Plaisir de voir la petite s’exhiber et bonne branlette
Mais année après année, la coquinette devenait plus effrontée. J »avais maintenant souvent l’occasion de la voir s’exhiber nue. J’aurais aimé la toucher, mais l’occasion ne s’était pas présentée. Je me contentais de me branler en m’imaginant lui faire pleins de choses excitantes.
En guise d’inspiration, ma petite cousine était toujours prête à m’exhiber ses petites fesses sous le nez. Cela ne lui posait pas plus de problème de m’allumer, je dirais même qu’elle adorait ça.
Mon rêve était de la baiser
Elle tournait toujours autours de moi dans la grange, me montrant fois sa chatte bien poilue pour son âge. Pour ses 18 ans, c’était vraiment une belle salope et j’espérais bien que je finirai pas la baiser un de ces jours…
Un jour, alors que tous le monde faisait la sieste, ma cousine est venue dans mon lit pour discuter. La pauvrette était un peu triste car son petit ami venait de la jeter. Sans se soucier des sentiments, ni la moindre explication, le jeune homme venait de lui annoncer qu’il ne voulait plus d’elle.
C’était le moment idéal pour réaliser mon fantasme et de la baiser. De nos jours cela serait mal vu de baiser sa propre cousine, beaucoup moins à l’époque. Il régnait un vent de liberté qui se perd malheureusement. Je savais bien que c’était un peu limite mais je sentais que cette petite pute ne demandait que cela.
Premier flirt, au chaud sous la couette
J’ai donc profité de l’occasion pour caresser les cheveux de ma cousine, elle me regarda avec beaucoup de tendresse. Évidement j’étais excité, mais je ne le montrais pas. Je préférai jouer le brave cousin, pour mieux parvenir à mes fins.Je devais jouer serré pour enfiler cette petite perle.
Il était temps de prendre ses mains entre mes mains, juste pour la consoler. Ma jeune cousine m’offrit finalement un baiser, qui se transforma très vite en une bonne pelle baveuse, à mon grand étonnement… Je la savais chaude et taquine, mais, là ce n’étais plus un jeu.
Le clito de ma jeune cousine roulait entre mes doigts
Je saisi donc cette occasion pour lui mettre la main entre les cuisses. J’étais aux anges de constater que ma petite chiennasse de cousine mouillait comme une salope… J’ai donc mis ma main dans sa culotte et c’était parti ! Heureusement je me débrouillais pas mal pour un jeune.
Du tripotage de clito au doigtage, en passant par le tripotage de nichons, je maitrisait le flirt comme personne. Il était facile pour moi de chauffer cette petite pucelle en la pelotant, tout en l’embrassant avec fougue.
Petite cousine devient petite suceuse
Je mettais le feu au corps de ma jeune cousine, si bien que cette garce est finalement passée sous les draps. Je pensais que c’était juste pour voir mon sexe bander, en fait c’était pour me sucer la bite… Pour une jeunette de 18 ans ma cousine savait y faire. Il y a quelques heures, j’aurai juré qu’elle était encore vierge.
Au contraire, la fille de mon oncle tétait ma grosse bite avec passion, elle s’y prenait comme une pro. Elle était géniale et me faisait du bien en aspirant mon gland gonflé et prêt à cracher. Elle inventa même un petit jeu, comme quand nous étions enfant, mais là il s’agissait de sexe. Les règles du jeu étaient simples, elle tentait de me faire jouir en passant sa langue sur mes couilles, et moi je tentais de résister.
De temps en temps, j’allais craquer tellement sa bouche était une vraie ventouse… Mais je tenais bon ! Puis elle me dit qu’elle aimerait bien baiser mais quelle n’avait pas de capote, c’était rare d’en avoir à l’époque.
L’initiation de la petite au sexe anal
La petite vicieuse me proposa alors de l’enculer ! J’étais un peu surpris de cette proposition mais je ne me sentais pas la refuser. Je lui demandais si elle n’avait pas peur de se faire enculer. Ma cousine m’avoua alors sur un ton coquin que son petit copain l’avait initiée au sexe anal.
Le salopard l’avait même enculé plusieurs fois la semaine dernière, et elle adorait se faire enculer… Je comprenais maintenant pourquoi son copain voulait rompre. Ce petit con se tapait toutes les filles de la région et les jetait après les avoir baisé et enculé, pas avant d’après les rumeurs.
Bouffage de sa chatte poilue et de son petit cul à 4 pattes
Ma cousine allait souffrir d’une bien triste réputation, tant pis pour elle. Cette petite conne méritait de se faire enculer par ma bite à présent. J’ai donc mis cette petite pute à 4 pattes, j’étais excité comme jamais. Devant la vue de ses fesses et de sa chatte, je ne pouvais résister à l’envie de lui bouffer l’abricot.
En guise de préliminaire, je lui ai bien bouffé la chatte avant de lui faire un long anulingus, elle gémissait comme une petite pute. Excitée comme jamais en sentant ma langue s’enfoncer dans sa jeune moule. Cela devait bien l’exciter de se faire bouffer la chatte et son petit trou du cul par son cousin.
Un bon coup de bite dans le cul de la fille de mon oncle
Ma salope de cousine avait les orifices trempés de ma salive et de mouille. J’ai donc pu la sodomiser sans difficultés, la petite nympho semblait ravie de se prendre un bon coup de bite dans le cul. En tâtonnant pour accéder à sa petite moule, je fut choqué comme jamais. Cette petite putasse que je croyais pucelle ou presque se doigtait la chatte avec ses 5 doigts.
Pire encore, cette jeune trainée se faisait elle même un fist fucking profond pendant que ma bite ramonait son anus. Après quelques minutes passées à l’enculer, j’ai fini par jouir dans l’anus de ma petite cousine. J’avais bien assuré et la petite chienne venait de prendre son pied en même temps que moi…
J’étais en sueur, elle aussi, je ne pourrais plus jamais la voir comme avant à présent. J’avais joui comme jamais auparavant mais un peu amer de voir qu’elle était si salope.
Berlin, 25 ans plus tard, la nostalgie me dévore
Cette histoire remonte à 25 ans et je ne l’ai toujours pas oublié, Malheureusement je ne l’ai sodomisé qu’une seule fois, quelque chose avait changé.
Je crois que mon oncle a comprit notre petit manège. Il était possible que sa sœur avait deviné nos jeux, ou que Valérie lui avait tout avoué et qu’elle ait rapporté.
En tout cas nous ne sous sommes plus jamais retrouvé seuls ensembles, Martine était devenue le chien de garde de tonton et tata. Partout où nous allions la grande sœur était là pour tempérer la libido débordante de ma cousine.
Je n’ai jamais revu mes cousines, même pas sur les réseaux sociaux. Mon retour à Paris à tout changé, j’ai reçu une réponse à une demande d’emploi et je suis parti en Allemagne pour travailler et faire ma vie.
Note de cette histoire de cul : ce témoignage est noté 13/20