L’histoire d’une sodomie avec la mère d’un ami
Je veux apporter à mon tour une petite contribution à travers cette histoire de cul, qui est un témoignage réel. J’en profite pour vous faire profiter de cette photo. Elle vous montre le trou du cul dilaté de la mère de mon pote Thibault. Je sais la qualité est loin d’être géniale ( elle est prise avec mon portable pourri).
Bien sûr, je m’excuse pour sa piètre qualité et sa basse résolution. Mais le trou du cul de la mère de mon ami est tellement bien dilaté, que ça compense, il me semble :).
L’histoire débute à l’occasion des grandes vacances d’été
J’ai la chance de la baiser depuis l’année dernière, c’était à l’occasion des grandes vacances, des vacances de rêves.
Petit retour en arrière :
La mère de mon pote était divorcée depuis 10 ans. Cette femme mure était encore très belle malgré ses 45 ans à l’époque. Je vous avoue que voir son joli cul et ses seins à l’air me faisait souvent bander. L’excitation était toujours au rendez-vous, du moins quand nous étions à la plage.
Le rapprochement : l’huile sur le dos et les fesses
Thibault lui, ne venait pas tous les jours, il préférait rester à l’hôtel pour jouer à la ps3 ( même en vacances ). Cela me donnait l’occasion de me rapprocher de sa mère. Ce rapprochement se faisait en discutant, puis en lui passant de la crème solaire sur le dos et les cuisses. Je ne vais pas mentir, quand je lui passais la crème je ne pouvais pas me retenir… Je bandais comme un taureau…
Elle s’en rendait compte car elle se débrouillait souvent pour frôler mon sexe, malheureusement à travers mon short de bain. Puis, je me suis rendu compte qu’avec le temps, elle était bien plus proche que moi. Curieusement, surtout quand mon pote ne venait pas à la plage, ce n’était surement pas un hasard. Elle me demandait plusieurs fois par jour de lui passer de l’huile sur le dos et les fesses. Petit à petit nous avons commencé à parler de sexualité.
Les confidences intimes de la mère de mon pote
Elle m’avoua qu’elle avait toujours une vie sexuelle et qu’il lui était même arrivé plusieurs fois de » faire des conneries « . Intrigué je lui demandait qu’elle étaient les conneries en question mais rien à faire. Elle avait du mal à m’avouer ce que je voulais savoir. Mais au final, elle ne put retenir sa langue très longtemps. Elle me demanda de jurer et je le fis, puis elle m’avoua qu’elle était attiré par les jeunes. Cette « cougar » perverse ajouta même qu’elle avait déjà couché avec deux amis de Thibault.
Curieux, je voulu savoir qui étaient ces chanceux, mais elle ne voulait rien dire. Je lui dis alors que je comprenais sa volonté de rester discrète, qu’il valait mieux éviter tout risque de fuite. Mais j’avais déjà une petite idée : Denis et Matthieu, les salauds… Ce n’était pas très dur à savoir car ces derniers s’étaient vantés d’avoir baisé et enculé la mère d’un de nos camarade. Ils s’étaient vantés mais sans préciser de qui il s’agissait… Si j’avais su.
L’occasion de baiser la mère de mon ami Thibault
Nous terminions notre journée de bronzette quand la mère de Thibault me fit une nouvelle confidence. Elle m’avoua en regardant une bande de jeunes qu’elle aimerait bien se taper l’un d’eux. J’étais un peu jaloux, mais cela me donna une idée… Hors de question de louper l’occasion de la baiser. Je lui répondis qu’il était risqué de se faire un plan cul avec un de ses jeunes. Qu’il valait bien mieux pour éviter que son fils ne l’apprenne, qu’elle baise avec quelqu’un de confiance.
– elle me répondit » toi ? « , je répondis à mon tour » Jamais deux sans trois » ! Joignant le geste à la parole, je lui caressa alors la main et lui demanda si elle ne voulait pas aller se baigner, elle accepta. Une fois dans l’eau je me suis mis à la taquiner un peu en lui envoyant de l’eau. Puis j’ai commencé à faire le pitre en essayant de l’attraper. Mon idée était de mettre en avant ma jeunesse, et mon « innocence »
Je finis par la saisir à la taille, et en me collant contre elle, la mère de mon copain sentit mon sexe en érection, tout contre sa chatte. Elle me dit qu’elle était heureuse de me faire tant d’effet et se mit à tâter ma queue à travers mon short. Cette salope alla même plus loin, en m’embrassant sur la bouche, c’était délicieux.
Elle me dit ensuite qu’elle avait envie de voir tout ça de plus près. Mais qu’il n’était pas facile de mettre l’idée en pratique à la villa louée pour les vacances. C’était clair, cette salope ne pouvait plus m’échapper, j’allais baiser la mère de Thibault. Mais il nous fallait un plan.
Le plan pour baiser la mère de mon ami
Nous nous sommes donc organisés. Avant de partir, elle passa un coup de fil à son fils en lui disant qu’elle m’amener à l’hôpital. Elle prit pour prétexte que j’étais victime d’une insolation. Pour ne pas éveiller les soupçons, elle lui demanda s’il voulait nous accompagner. Par chance, il refusa, poliment. Cet idiot avait passé deux jours à jouer et il était épuisé. Grâce à cela, nous avions notre plan.
Nous sommes donc partis touts les deux à la recherche d’un hôtel, et très vite nous étions nus dans la chambre. Quel bonheur d’être ensembles, en train de nous rouler des pelles et nous caresser. C’était vraiment formidable de flirter avec la mère d’un ami. C’était bien sûr le plus gros fantasme de tous les jeunes de mon âge. J’en était parfaitement conscient et reconnaissant.
Le bilan de ce premier rendez-vous à l’hôtel :
- Elle m’a sucé comme une déesse.
- Je lui ai bouffé la chatte comme un gros porc.
- Je l’ai enculé comme un salaud.
- Mon constat : c’était vraiment une grosse salope.
Accro au cul de la mère de mon ami
Pendant le reste des vacances nous partagions la journée entre la plage et l’hôtel, lorsque Thibault voulait nous accompagner. Nous étions vraiment tristes ne ne pouvoir nous retrouver seuls tout les deux, j’étais accro au cul de la mère de mon ami, et elle à ma queue.
Au fur et à mesure que les jours passaient ( bien trop vite ), je me suis rendu compte à quelle point la mère de mon pote était salope. Elle adorait se faire prendre par le petit trou, et son anus était hyper dilaté. Nous sommes donc passé très vite du plan pipe – baise – sodomie au plan pipe – sodomie – dilatation anale.
Vous me croirez si vous le voulez, mais c’était vraiment une grosse chienne. Elle adorait que je lui enfile des trucs dans le cul ( concombre, courgette, et finalement mon poing. j’ai découvert le fist fucking anal, et plein d’autres façon de dilater un anus grâce à elle.
Après les vacances, c’est la rentrée ( dans son cul )
Depuis nous sommes rentré de vacances, mais je profite encore parfois des absences de mon pote Thibault. Je ne peux m’empêcher de bander pour elle, de la rejoindre régulièrement pour aller enculer et la fister.
Je ne pense pas être amoureux de sa mère, mais elle est ma drogue, ma déviance, ma cougar. C’est vraiment le pied de vivre ce fantasme partagé par la plupart des jeunes de mon âge et encore plus avec elle. Même en cherchant toute ma vie je ne suis pas certain de trouver une plus grosse cochonne que la mère de mon ami Thibault.
Note de cette histoire de cul : ce témoignage est noté 14/20